Née de mère syrienne, MONA MOSLY a beaucoup appris de la culture culinaire libanosyrienne. Elle s’est formée professionnellement en Suisse, puis au Cordon Bleu à Londres avant de partir en France au Plaza Athénée. Magré les difficultés pour une femme d’exercer, elle a tenu à revenir à Jeddah. Elle y est désormais reconnue comme chef à part entière, la première femme saoudienne à exercer dans ce domaine. Agée de 27 ans, elle est jury de The Taste, le reality show de cuisine du Moyen-Orient.
La crème reste très importante car nous l’utilisons dans la plupart des recettes. Elle ajoute de la richesse dans les saveurs et du soyeux dans les consistances.
Je m’en sers essentiellement pour enrichir les textures, du coup c’est en chantilly que je préfère l’utiliser.
Dans beaucoup de pâtisseries à la française, comme les millefeuilles que l’on a baptisés Napoléon, ou dans des tartes. Mais également dans nos desserts traditionnels comme les Basbosa, Kunafa, Umm Ali, Mahalabia. En fait, on en met à peu près partout dans notre cuisine : les soupes, les sauces et même dans le café.
Je suis une énorme fan des éclairs alors c’est à eux que je pense, et un peu à la glace aussi.
Je l’apprécie beaucoup. C’est un des ingrédients essentiels de ma cuisine.
L’éclair, définitivement !